Cathy est chez elle partout, citoyenne du monde comme elle aime se définir elle-même, elle est avant tout une femme de voyages et de rencontres. Sa ligne de bijoux « Catherine Martineau » est contemporaine, dynamique et avec ses petits prix, accessible à toutes !

Le portrait

Ce qu’on retient de Cathy au premier contact c’est son caractère fort et sa sincérité, cette femme de tête qui vit aujourd’hui entre Inde et Maroc a toujours pris les choses en main et su développer son savoir faire au fil des années.

Créatrice de bijoux pour sa propre marque, c’est à l’âge de 24ans qu’elle fonde sa première entreprise. A l’époque, elle occupe le poste de directrice commerciale, mais après 2 ans ce sont ses clients qui la poussent à se lancer seule pour créer sa propre collection. C’est ainsi que la marque « Catherine Martineau » est née. 

Le succès est au rendez vous, elle ouvre sa boutique dans le marais à Paris et collabore avec les plus belles enseignes de la grande distribution comme le Printemps ou les Galeries Lafayette.

Après 9 ans de ce rythme citadin et des commandes de grossistes elle prend la décision de tout plaquer, quitte la France à destination de l’Inde pour s’accorder un break.

Elle en profite pour développer ses contacts sur place et renforcer son réseau de fournisseurs qu’elle côtoie depuis de nombreuses années, en recherche permanente de belles matières et de produits d’exception, elle devient rapidement une spécialiste de l’outsourcing.

Grâce à son expérience du terrain, et à sa bonne connaissance des fournisseurs locaux, elle cherche et trouve pour certains de ses partenaires acheteurs : perles de culture, cuir, pierres précieuses, bijoux, diamants, cachemires… 

En parallèle elle continue à développer sa propre marque de bijoux et l’enrichit régulièrement de nouveautés. Son objectif : créer des bijoux élégants, raffinés à tous les prix pour que chaque femme puisse se les offrir quelques soient ses moyens.

L’interview

Pour contacter Catherine envoyez lui un mail à l’adresse : 

[email protected]

Par Andréa pour Vivre Essaouira le 18/02/2014